Un alignement de valeurs
ENTRE LA SPIRULINE, L’ESPACE DE PRODUCTION ET LA GESTION
La spiruline, par sa culture et sa composition nutritionnelle et chimique, se trouve à la croisée de plusieurs phénomènes de consommation et de prise de conscience qui se renforcent de jour en jour.
Consommation locale & biologique, végétarianisme, sensibilisation au changement climatique…
Il était donc primordial pour inblue de bâtir autour de ce produit un modèle de gestion et un espace de production en accord avec les valeurs renvoyées par la spiruline.
La spiruline ? Bonne pour le corps et la planète
CE QUI FAIT D’ELLE UN ALLIÉ POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE
L’IMPACT DE L’INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET AGRICULTURE
L’exploitation intensive des ressources naturelles, et particulièrement l’agriculture, engendre des coûts cachés et un impact négatif sur l’environnement.
Des effets en totale contradiction avec nos besoins de tendre vers une production et une consommation de biens respectueuses du climat.
LES EFFETS NEGATIFS SUR L’ENVIRONNEMENT
Déforestation
Epuisement de l’eau douce
et des couches supérieures des sols
La pollution générée par
les pesticides et herbicides
Les coûts médicaux liés aux pathologies
en relation avec une consommation
trop chargée en additifs chimiques
PROTECTION DES SOLS
La culture de la spiruline s’effectue dans des bassins ou photobioréacteurs, elle n’a donc aucun impact sur l’appauvrissement des sols fertiles. Il a été calculé que la production d’un kilo de protéines de blé occasionnait la destruction de 22 kg de sol fertile ; de même, la production d’un kilo de protéines de bœuf conduirait à la perte de 145 kg de sol fertile. La spiruline produit davantage de protéines sans entraîner d’érosion des terres arables qui ne sont pas nécessaires pour sa production
UNE FAIBLE CONSOMMATION EN EAU
Bien que la spiruline se développe dans l’eau, elle nécessite une quantité moindre d’eau par kilo de protéines produites que beaucoup d’autres aliments. La protéine issue de la spiruline consomme environ 30 % du volume d’eau nécessaire à la protéine de soja, et seulement 2 % de l’eau exigée par la protéine de bœuf.
- 30 litres pour 10 grammes de spiruline,
- 4 900 litres pour un hamburger.
De plus, avec l’amélioration des systèmes de production il est possible, comme dans notre installation, de diminuer encore plus la consommation en eau par la mise en place d’un cycle fermé et d’une récupération des eaux de culture lors des opérations de récolte. Le système de production d’Inblue permet d’économiser 50 % d’eau en plus par rapport à un système de culture en bassin.
LA SPIRULINE ET GAZ CARBONIQUE
Les arbres ont la capacité de fixer de 1 jusqu’à 4 tonnes de carbone par an et par hectare. La spiruline consomme le gaz carbonique et fixe jusqu’à 23 tonnes de carbone par ha/an. Dans le même temps, elle produira 16,8 tonnes d’oxygène (ha/an).
L’éco-conception de l’unité de production
UNE SERRE DE CULTURE DÉVELOPPÉE AVEC LA VOLONTÉ QUE CELLE-CI SERVE
LE PRODUIT : FACILITER SA PRODUCTION TOUT EN RESPECTANT L’ENVIRONNEMENT
Éco-branding
POUR PROLONGER NOTRE DÉMARCHE DANS LES MOINDRE DÉTAILS
Concevoir une image de marque en limitant son impact sur l’environnement voilà le leitmotiv d’inblue dans sa stratégie de communication.
Car si la communication est une dimension essentielle dans la vente, elle doit servir le produit et les valeurs de l’entreprise.
LE DESIGN DE NOTRE LOGO
- Une version digitale sur un fond sombre comme le design de notre site internet, limite la consommation d’électricité de certains types d’écrans lors de l’affichage.
- Une version print du logo qui limite l’encre utilisée grâce à la typographie et la sélection des couleurs.
Résultat : une économie de plus de 30 % d’encre à chaque impression.
SÉLECTION DE LA POLICE D’ÉCRITURE
- La sélection de la police d’écriture a un impact direct sur l’impression. Jouer sur la taille de corps, l’espacement des lettres, la graisse de la typographie permet de limiter le nombre de page ainsi que l’encre utilisée.
Résultat : 24 % de réduction de l’encre utilisée lors de l’impression d’une page A4 comparé à une police standard.
GREEN-UX
Une conception du site internet qui applique un ensemble d’actions simples qui permettent de réduire l’énergie nécessaire à l’affichage du site internet :
- des images réduites,
- des outils et plug-in optimisés,
- privilégier les infographies aux photos/vidéos,
- réduire le nombre de polices,
- un design minimaliste.
Résultat : un site éco-conçu qui charge plus vite qu’un site internet classique.
LIMITATION DES IMPRESSIONS
Selon une étude IPSOS, les Français impriment 28 pages par jour et par salarié en moyenne. De plus, le nombre de pages imprimées inutilement est en hausse depuis 2007. C’est pourquoi au sein d’inblue nous privilégions les formats digitaux de manière à limiter au maximum les impressions.
Résultat : des économies financières pour inblue et ses clients, un impact sur l’environnement réduit.